18 novembre 2016
Nuit (Dizain d'Espinel version miroir perso)
Assise sur mon lit le jour tarde à venir.
L’automne allonge l’ombre, au plafond de la chambre
Un pastel imprécis se dessine et se cambre,
Le silence en écho frissonne un souvenir.
Perdue entre le rêve et le réel bien sage
Je m’égare au grand large où je vais retenir
Le silence en écho, les traits flous que présage
Un pastel imprécis, un croquis anodin.
L’automne allonge l’ombre au fond de mon jardin.
Assise sur mon lit la nuit sait ton visage.
Hélène
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H
A